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Zemmour est dans le pré ! Plus précisément dans une cressonnière, cultivée de père en fils par une famille de maraîchers. Visite sous les serres par Jean-Yves Simian qui dirige l’exploitation , échanges sans concession avec d’autres agriculteurs au sujet de la pénibilité de leur métier, de la difficulté de transmettre, mais aussi de la fierté de nourrir les hommes. Enfin, Éric Zemmour a accordé à Livre Noir un entretien exclusif et apaisé, au coin d’un feu de cheminée, autour de la ruralité, de ses souvenirs de Noël, de la rudesse et de l’intensité de ses premières semaines en tant que candidat.
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Les taxes foncières et d’habitations sont inconstitutionnelles devant l’article 13 des droits de l’homme de 1789, devant les articles 2 et 17 des droits de l’homme de 1789, devant l’article 34 de la constitution de 1958.
ART. 13. — Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable; elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Ces taxes ne sont pas proportionnelles aux revenus et ne sont pas également réparties entre tous les citoyens.
ART. 2. — Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
ART. 17. — La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.
Ces taxes privent les possédants d’une partie de leur propriété ce qu’interdit les articles 2 et 17 des droits de l’homme de 1789.
Les taxes sur la transmission des biens et des entreprises aux enfants privent aussi les possédants d’une partie de leur propriété, ce qui viole les article 2 et 17 des droits de l’homme de 1789.
“La loi est votée par le Parlement. La loi fixe les règles concernant… l’assiette, le taux et les modalités de recouvrement des impositions de toute nature.” (Art. 34 de la Constitution de 1958
Le taux de ces taxes n’est pas voté par le Parlement.